Les Dires de Zeta: Les Indiens d’Amérique


Il existe une controverse portant sur le fait que les Indiens d’Amérique auraient migré de ce qui est maintenant la Chine ou bien seraient une race d’humanoïde à part. Les deux origines sont réelles. Ce n’est pas un hasard si les nombreuses tribus d’Indiens ont un tel sens avancé de la démocratie au point que la constitution des Etats Unis fut fondée sur leurs définitions de la société. L’égalité entre les sexes, les droits de vote dans les conseils municipaux, le patronat basé sur un respect mérité plutôt que sur des titres hérités, et l’acceptation de réalités sociales telles que le divorce et les enfants illégitimes où les différentes parties ne sont pas punies pour des péripéties sociales dont ils n’ont généralement pas le contrôle. Isolés du reste du monde, les Indiens d’Amérique peuvent s’attribuer le mérite de ces préceptes de société, car toutes les influences qui vinrent par les mers étaient au mieux autocratiques, comme le raconte de nouveau l’histoire.

Les Indiens d’Amérique portent la signature de gènes communs avec les Asiatiques qui traversèrent le pont de terre menant à l’Alaska, mais la race d’origine est plus ancienne et spécifique aux Amériques. Contrairement aux six races d’hommes qui furent génétiquement produites à partir d’un grand singe de la Terre, l’Indien d’Amérique fut le résultat de la transplantation d’un humanoïde qui arriva beaucoup plus tôt. Pourquoi n’a-t-on pas retrouvé leurs ossements? Les ossements retrouvés portent tous la trace des reproductions qui se firent à l’arrivée des asiatiques. Ce que l’on a découvert des races primitives d’humanoïdes transplantés n’est pas reconnu comme tel. Cette race avait une ossature légère, et on la prend pour celle de singes lorsqu’on en trouve parce que l’incinération n’avait pas eu lieu - une mort dans la forêt, sous une hutte, dont le corps n’avait pas été retrouvé. Et si les Indiens d’Amérique furent l’objet d’une transplantation, à l’origine, du fait des nombreuses rencontres avec d’autres races, toutes les autres races que l’humanité a connues, on ne peut plus maintenant discerner en eux de gènes spécifiques.

On dit des Indiens d’Amériques qu’ils sont de vieilles âmes, et non sans raison. Les humanoïdes transplantés étaient incarnés dans des entités avancées de la 3ème Densité, avec beaucoup de marques distinctives des structures sociales de la 4éme Densité. D’où ces penchants démocratiques, ce respect pour la nature, et cette conscience du voyage de l’âme.