Les Dires de Zeta: Le Flux Gravitationnel


Le flux de particules gravitationnelles n’est pas très différent du modèle magnétique, tout en comportant plusieurs différences significatives. Dans le magnétisme, le flux de particules est en rapport avec la forme des atomes comme le fer, qui permet à l’origine l’émission d’un flux, et ce flux est aussi en rapport avec les types de liens auxquels ces atomes sont communément soumis. Les particules magnétiques sont émises soudainement à l’occasion d’un changement du rythme des particules subatomiques que sont par exemple les électrons qui gravitent autour du noyau, et cela n’arrive pas dans les autres atomes dont l’équilibre du halo d’électrons est plus régulier. Le magnétisme produit donc un champ, et ce champ un flux, que l’on peut imaginer telle une rivière, et dans cette rivière on verrait les particules magnétisées se placer selon le cours d’eau.

Les particules gravitationnelles produisent un flux, mais ne produisent pas un flux perceptible, et ne montrent pas d’irrégularités du phénomène. La Terre ne subit-elle pas une attraction uniforme en tout point de sa surface? Et s’il y a un flux, alors en quel endroit ce flux se renverse-t-il, pour expulser les particules en surface? Il existe de fait un tel renversement, mais les courants sortants sont propulsés avec une force et une vitesse telle par rapport au flux entrant, que cela se produit sur une surface dérisoire et sans engager la masse de l’objet. Un laser de particules gravitationnelles contre un projecteur dans l’autre sens. Alors pourquoi le poids des particules entrantes serait il le seul que l’humanité connaîtrait, et pourquoi ne sentirait elle pas l’ascension violente des courant sortants? Le courant sortant fait sauter la matière en s’expulsant, en faisant comme un trou, alors que les particules entrantes ne font pas de trou sur ce qu’elles compressent, et ont donc plus d’effet.

Les particules gravitationnelles n’affectent pas au cours de leur déplacement ce qu’elles peuvent rencontrer ou traverser, l’effet étant essentiellement mécanique. Les courants sortants poussent de côté la matière rencontrée, et celle-ci se remet en place après leur passage, ne laissant aucune trace de cette déchirure temporaire. Les particules gravitationnelles descendantes qui s’en retournent vers la masse imposante qui les attire, comme le noyau terrestre par exemple, s’éparpillent sur les objets qu’elles croisent, et prennent leur temps à traverser ces objets à la dérive, avec une pression continue au cours de leur déplacement. Les particules descendantes , du fait du temps qu’elles passent sur la surface des objets à l’explorer, et du fait de la direction continue de leur déplacement, représentent donc une force mécanique qui est plus grande, dans l’ensemble, que celle des particules montantes qui passent rapidement à travers la surface des objets, en les poussant de côté plutôt qu’en s’y engageant.

La nature de ce flux gravitationnel permet de définir la force de répulsion dont nous parlons. Celle-ci n’est complémentaire de la gravité que lorsque des corps imposants sont proches les uns des autres. Les courants montants qui rencontrent un corps important expulsant lui aussi des courants de particules gravitationnelles vont tenir ce corps à distance. Cela se produit à bonne distance entre les corps, comme diraient les humains, car de petits objets comme les satellites n’expulsent aucun courant montant et s’ils étaient assez loin de la surface d’une géante gravitationnelle qu’est une planète, ils trouveraient un équilibre entre le courant descendant et le courant montant des particules gravitationnelles en présence, et les humains, dans leur ignorance, parleraient d’un champ de gravité nul, sans effet. En ce lieu, les courants montants créent tout de même une déchirure, mais moins forte, de telle sorte qu’il y a poussée mécanique vers le haut, et puis les courants descendants se dispersent de façon plus clairsemée sur la surface pour aller explorer les couches denses de ces objets dans l’espace. Les corps massifs, en expulsant leur propre courant de particules gravitationnelles montantes, engendrent cette situation où leurs propres courants et ceux d’un autre soleil ou d’une autre planète se cognent l’un contre l’autre, ce qui génère un tampon qui empêche les masses gravitationnelles de se toucher ou même de s’approcher au delà de limites extrêmes.

A l’intérieur des trous noirs, le courant descendant surpasse aussi le courant montant, et la même loi s’applique-t-elle donc.